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En France par défaut tout le monde est concerné par le don d’organes. En effet il n’est pas besoin d’avoir donné son consentement poue être donneur. C’est automatique. La loi du 22 décembre 1976 sur le don d’organes indique: « des prélèvements peuvent être effectués à des fins thérapeutiques ou scientifiques sur le cadavre d’une personne n’ayant pas fait connaître de son vivant son refus d’un tel prélèvement ».
Vous l’avez donc compris, pour que l’on ne prélève rien sur votre corps après votre mort il vous faut de votre vivant avoir exprimé votre refus d’être prélevé. Ceci c’est le principe. Dans la réalité un obstacle majeur est le refus du don de la part de l’entourage. Ce qui fait qu’il n’y a pas assez de dons par rapport à la demande. En 2015 plus de 500 personnes en sont mortes.
Mais depuis le 1er janvier le refus des familles a moins de poids puisque la loi précise que « le prélèvement d’organes post-mortem peut être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu’elle n’a pas fait connaître, de son vivant, son refus d’un tel prélèvement, principalement par l’inscription sur un registre national automatisé prévu à cet effet ». C’est un peu une redite mais c’est une fois de plus l’affirmation qu’il faut un refus exprimé de son vivant et non pas celui de l’entourage après la mort.
Alors il existe désormais pour refuser un registre national des refus sur internet. En s’inscrivant très simplement sur ce registre vous faites savoir votre refus. Si vous n’y figurez pas et si aucun document écrit ne peut être produit par la famille alors le prélèvement d’organes ou de tissu pourra être effectué.
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