Abonnez-vous au podcast « Choses à Savoir Sciences » pour ne rater aucun nouvel épisode: |
S’abonner | |
S’abonner | |
S’abonner | |
S’abonner | |
S’abonner | |
S’abonner |
.
Le paradoxe de Fermi est en réalité une interrogation. Ou plus exactement une série de questions que s’est posé en 1950 le physicien italien Enrico Fermi prix Nobel en 1938, au sujet de la possibilité d’une vie et d’une visite extraterrestre.
Durant un repas il se demanda avec des collègues scientifiques où sont les extraterrestres.
Se pose la question de savoir pourquoi les hommes n’ont pas encore trouvé aucune trace de civilisations extraterrestres alors que, et c’est là que réside la légitimité de la question, le soleil est plus jeune que nombre d’étoiles de la galaxie. Des civilisations plus avancées doivent donc exister. Et avec leur avance technologique elles auraient dû être déjà capables de nous trouver.
Donc le paradoxe peut se résumer dans la question suivante : « S’il y avait des civilisations extraterrestres, leurs représentants devraient déjà avoir trouvé la Terre. Pourquoi n’est-ce pas le cas ? »
Sachant qu’il y a à peu près 200 milliards d’étoiles dans notre galaxie, et que près de 3000 exoplanètes ont été découvertes depuis l’interrogation de Fermi, il n’est pas fou de considérer que de telles civilisations existent.
Pour résoudre le paradoxe de Fermi il y a plusieurs solutions : on peut d’abord estimer que nous sommes seuls dans la Galaxie ou du moins nous sommes les premiers à atteindre notre seuil de technologie. Une autre réponse repose sur l’impossibilité du voyage interstellaire. Celui-ci pourrait être impossible compte tenu de facteurs comme les rayons cosmiques ou les poussières interstellaires.
Rappelons ici que depuis le lancement du télescope spatial Kepler, en 2009, plusieurs milliers de planètes potentielles, en dehors de notre système solaire, ont été détectées. Et nous ne voyons qu’un millième de la galaxie.
How Can I Lower The Cost Of My Medicaments