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Une étude menée par Ericssson montre que les temps de chargement sur les plates-formes de vidéos sont un facteur d’augmentation du stress.
On a mesuré le rythme cardiaque, le mouvement des yeux et l’activité cérébrale de personnes adultes de moins de 52 ans placées dans différentes situations. Dans la première, une vidéo YouTube se lançait sans chargement. Ensuite le temps de chargement était fixé à deux secondes. Enfin, il fallait attendre au moins six secondes avant que la vidéo démarre.
Résultat : le niveau de stress augmente jusqu’à près de 20 % lorsque l’on fait face à un temps de chargement.
Et si la vidéo s’arrête en plein milieu du visionnage et qu’un nouveau temps de chargement apparaît, le taux de stress monte jusqu’à 35% chez certains des sujets étudiés. Les chercheurs ont en particulier observé, lors de ces pauses, une augmentation de 38% du rythme cardiaque des cobayes.
Un temps de chargement au cours d’une vidéo provoque ainsi un stress semblable au visionnage d’un film d’horreur, ou pis encore, à la résolution d’un problème mathématique.
Or il a été prouvé qu’un stress répété au cours de la vie diminue l’espérance de vie.
Ericsson souligne que l’essor de la vidéo risque de décupler le trafic mondial de données, qui a déjà crû de 65% les douze derniers mois.
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