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Un grand nombre de montres utilisent une fine lamelle de quartz, ce minéral très courant et peu coûteux, car ses propriétés sont singulières. Quand il reçoit un courant électrique, il vibre. L’application d’une tension électrique entraine une modification des dimensions des cristaux de quartz. Ils permettent de transformer un signal électrique en déformation mécanique. Et cette déformation s’effectue à une fréquence très précise: 32 000 fois par seconde. Là est tout l’intérêt du quartz ! Il oscille à une fréquence stable si stimulé par une pile.
Donc si la lamelle reliée à une pile actionne un mécanisme qui fait tourner les aiguilles (un moteur synchrone), ce qui est le cas dans ce type de montre, alors les aiguilles tournent avec une grande précision et régularité. Ces oscillateurs à quartz utilisent le principe de la piézoélectricité découvert par les frères Pierre et Jacques Curie en 1880. La piézoélectricité est, vous l’avez compris, la capacité d’un corps à se polariser et se déformer lorsqu’il subit une charge électrique.
Un dispositif très fiable puisque ces montres ne se dérèglent que d’une seconde tous les six ans.
Comparées aux montres mécaniques elles ont une précision san commune mesure pusique les premières se décalent de 6 secondes par jour. Mais il y a plus précis que les montrent ou horloges à quartz: les horloges atomiques. Elles accusent un décalage d’une seconde que tous les… 3 000 ans.
La première montre-bracelet à quartz date de 1967 et celle commercialisée de 1969, la Seiko 35SQ.
Un dernier mot sur la différence entre les montres à quartz et les montres mécaniques. La différence est que les mécaniques ne tirent pas leur énergie d’une pile, mais d’un remontage qui peut être manuel ou automatique. Dans ce dernier cas la montre se remonte grâce aux mouvements du poignet.
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