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Pour faire simple oui mais il y a beaucoup plus nourrissant !
Il y a trois millions d’années et jusqu’il y a 12 000 ans avant notre ère le cannibalisme était fréquent. Et pourtant, selon une étude menée par un chercheur américain, la valeur calorique d’un être humain est assez faible. Beaucoup plus basse que nombre d’autres aliments disponibles a l’époque.
Jame Cole, professeur à l’université de Boston aux États-Unis, s’est posé la question de la valeur calorique de l’humain. Ses conclusions sont qu’un rein humain vaut a peu près 380 calories et 650 pour un cœur. Un poumon 1 600 calories, alors qu’un foie 2 570 calories. Consommé en entier un corps humain représente 125 000 calories.
Conclusion : l’Homme mangé cru n’est pas riche en termes de valeur nutritive. En effet il faut le comparer à un mammouth par exemple, 3,6 millions ou les 1,26 million d’un rhinocéros.
Un homme ne pouvait rassasier un groupe de 25 personnes que pendant un jour et demi maximum. Cela s’explique car la viande humaine a un pourcentage de muscles inférieur aux autres animaux (38% contre 60% en général).
Le cannibalisme paléolithique avait donc un autre objectif que purement alimentaire. Il devait remplir des fonctions sociales.
Quant à son goût, l’aventurier et journaliste William Buehler Seabrook, même si contesté, donna en 1931 dans son livre les Secrets de la jungle la meilleure description. Crue, la chair humaine ressemble au bœuf. Grillée, il écrit : « C’était si proche d’une bonne pièce de veau à pleine maturité qu’à mon sens, aucune personne dotée d’un palais ordinaire et d’une sensibilité normale n’aurait pu faire la différence.»
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