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La question qui se pose est celle de l’influence de la pratique d’un sport sur les capacités de reproduction.
A Bilbao des scientifiques ont mené une étude portant sur 85 candidats donneurs de sperme. Chacun a répondu à un questionnaire pour mesurer le niveau d’activité physique. Les résultats ont montré que tous avaient une pratique dite « modérée » du sport.
Conclusion de l’étude, l’activité physique améliorait chez eux la quantité de spermatozoïdes. Quant à la qualité il est trop tôt pour se prononcer. Difficile pour le moment de répondre.
Mais une autre étude avait été menée auparavant sur ce thème et elle apportait un début de réponse. En 2012 des chercheurs de l’université de Cordoue avaient comparé la semence d’hommes actifs à celle de sédentaires. En mesurant le volume de l’éjaculation, le nombre de spermatozoïdes ainsi que leur activité et leur forme, on avait conclu que l’activité physique modérée augmentait les taux d’hormones sexuelles, ce qui rendait plus aisée la production d’un sperme de qualité.
Et on savait déjà que les activités de plein air comme le jardinage ou encore des sports comme l’haltérophilie étaient particulièrement bénéfiques.
Au-delà du sport l’exposition aux rayons du soleil pourrait stimuler la fertilité car elle augmente les niveaux de vitamine D.
Mais pour revenir au sport, toutes les activités n’ont pas les mêmes effets. Ainsi les cyclistes présentent dans les études des concentrations en spermatozoïdes plus faibles que les autres sportifs. Ce qui pourrait être dû à la pression exercée par la selle du vélo sur le scrotum du cycliste.
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