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A propos de Facebook et de l’impact de son utilisation sur les utilisateurs, les avis sont souvent tranchés. Pour certains Facebook rendraient idiot en abaissant le niveau d’information de la population, quand pour d’autres ce serait le contraire.
La réalité semble être entre les deux.
Des chercheurs en sciences de l’information ont étudié les effets des réseaux sociaux sur l’information.
Leur conclusion est que scroller sur Facebook ou Twitter, même sans cliquer pour lire en entier un article n’est pas automatiquement dénué d’intérêt. Les utilisateurs, même s’ils ne font que voir passer une info, retiennent au moins son existence. Et c’est déjà pas si mal.
Car internet a tendance a nous enfermer dans la consultation des même sites ayant leur propre lecture de l’info. Ce qui nous fait souvent tourner autour des mêmes thèmes. Les pages partagées par nos amis ouvrent à d’autres contenus, souvent bien différents de ceux que nous consulterions de par nous-même. Il s’agirait donc d’une ouverture.
Cette exposition involontaire aux informations recommandées par des tiers, famille ou proches, permet de conclure si ce n’est à l’optimisme, en tous cas à une forme de pondération quand il s’agit de juger l’impact des réseaux sociaux sur notre façon de nous informer.
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