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Une étude publiée dans la revue Nature indique que des chercheurs ont mesuré sur les coquillages se trouvant sur les plages de la mer baltique, des taux très élevés de méthane. Or le méthane a un potentiel de réchauffement 28 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone. Ce qui équivaut à autant de méthane rejeté que 20 000 vaches laitières.
Jusque-là les mollusques étaient considérés comme des éléments aidant à combattre le réchauffement car ils éliminent de l’eau les particules et stockent le carbone dans leurs coquilles.
Mais cette nouvelle étude pourrait venir complexifier ce point de vue. Les coquillages pourraient être de très importantes sources de méthane, le gaz le plus « réchauffant » pour la planète.
Cette étude montre que les coquillages multiplient huit fois la présence de méthane sur la plage. 10% des émissions totales de méthane provenant de la mer Baltique peuvent être dues aux palourdes et aux vers. Car le mollusque est en réalité colonisé par des bactéries qui émettent du méthane, et un ver vient permettre à ce gaz de s’échapper.
Mais il faut dire que les chercheurs soulignent que ces résultats ne peuvent pas être appliqués par principe à toutes les plages avec des coquillages. Il s’agit d’une espèce de coquillage et d’un ver, qui plus est dans un écosystème particulier. Mais des endroits assez similaires pourraient tout de même donner les mêmes résultats, comme la baie d’Arcachon. Ils pourraient même y être plus importants car il y fait plus chaud et donc les microbes y sont plus actifs.
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