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Selon la Nasa, aux alentours de 90 secondes. Pas plus.
En effet une combinaison spatiale rend quelques services plutôt utiles quand on se trouve dans le vide de l’espace !
D’abord elle va fournir de l’oxygène et assurer un environnement pressurisé à l’astronaute. La combinaison va également réguler la température et le taux d’humidité. Enfin elle permettra de résister aux micrométéorites ainsi qu’aux rayonnements solaires et cosmiques.
Sans elle, voici le scénario le plus probable : d’abord à cause de la faible pression et de la température les fluides corporels gèleraient ou s’évaporerait immédiatement. En effet la température des parties du corps directement exposés aux rayons du Soleil pourrait atteindre 150 °C alors que les autres pourraient être à −120 °C. La personne perdrait alors évidemment connaissance. Aveuglée par la lumière, son corps de surcroit gonflerait dans de grandes proportions, plus du double. Ses poumons subiraient l’expansion du peu d’air qui s’y trouverait.
A noter que les combinaisons spatiales A7L du programme Apollo sont les plus complexes à avoir été utilisées jusqu’à présent. Utilisées entre 1968 et 1975, elles pèsent 72 kg mais l’attraction lunaire étant six fois moins forte que la gravité terrestre, les astronautes avaient l’impression de porter à peine 14 kg.
L’autonomie maximale pour les astronautes est de 6 h 30, ce qui correspond aux réserves d’oxygène, d’énergie et d’eau pour le refroidissement de la combinaison spatiale.

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