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A la fin de la seconde guerre mondiale l’Allemagne est occupée par les pays vainqueurs qui se partagent le pays en quatre zones. La ville de Berlin elle, est découpée avec une zone située à l’ouest, la République fédérale d’Allemagne, qui est gérée par les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne, et une zone située à l’est, qui est occupée par les soviétiques.
Des deux côtés, la vie est très différente. Du côté de la RFA, la croissance économique et modernisation en marche. Du côté de la République démocratique allemande, un niveau de vie très bas.
C’est pourquoi les gens situés à l’est cherchent à tout prix à immigrer à l’ouest.
Le mur de Berlin, ce « mur de la honte » comme le nomment les Allemands de l’Ouest, est appelé « mur de protection antifasciste » à l’est. Il est construit à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande, dans le but précisément de mettre fin à cet exode.
En réalité c’est plus qu’un mur. Il s’agit plutôt d’un dispositif militaire complexe. Deux murs de 3,6 mètres de haut, 302 miradors, des alarmes, 14 000 gardes, 600 chiens. Pendant plus de vingt-huit ans, il sera le symbole d’une Europe divisée par le rideau de fer.
Mais le mur finira par tomber. Dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 novembre 1989.
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