Incroyable !

34% des soldats américains prenaient de l’héroine pendant la guerre du Vietnam

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« L’enfer de la guerre », certains ne s’en remettent jamais vraiment. D’autres, pour tenir le coup, prennent des psychotropes de manière régulière. C’était le cas de 34 % des GI’s américains, lesquels consommaient de l’héroïne durant l’éprouvante guerre du Vietnam.

À la guerre comme à la guerre

Très éprouvante pour les corps, comme pour les esprits, la guerre surmène littéralement les soldats qui la mènent.

Ainsi, c’est pour faire face à la mort, qu’ils côtoient quotidiennement, que des hommes envoyés au front prennent des drogues de manière plus ou moins régulière.

Par exemple, il est notoire que les membres de la secte chiite des « Assassins » consommaient abondamment du hashish (le mot « assassin » dérivant même du nom de cette drogue), tandis que de nombreux terroristes contemporains prennent du Captagon, avant de commettre leurs méfaits.

De leurs côtés, les GI’s américains partis au Vietnam n’étaient pas en reste, puisque 34 % d’entre eux consommaient de l’héroïne (une drogue dure), avec un taux de dépendance atteignant 20 %.

Une statistique qui, bien qu’étant prévisible, pouvait sembler inquiétante pour les membres de l’état-major américain.

Dans de tels cas, se pose – en effet – la question de « l’après-conflit » et donc du comportement des vétérans, une fois qu’ils ont effectué leur retour à la vie civile.

Enfer de la guerre, paradis artificiel

En réalité, selon une publication du « Special Action Office for Drug Abuse », datant de 1973, les soldats américains se droguaient de préférence après les combats ; de peur de mourir inopinément, s’ils n’étaient pas sobres durant les batailles.

Ainsi, se ruant sur tout ce qu’ils pouvaient, les GI’s consommaient même de l’opium et des barbituriques, pour oublier la violence des affrontements qu’ils venaient d’endurer.

Heureusement pour eux, cependant, le retour à la vie civile rimait souvent avec un quotidien bien plus sain. En effet, selon les études de Lee Robins, sur l’ensemble des soldats rentrés aux États-Unis, seul 1% présentait des signes d’addiction aux psychotropes.

Un chiffre satisfaisant, même si les troubles de stress post-traumatique vont bien au-delà du simple domaine des drogues.

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