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En 2012, des scientifiques ont fait volontairement écraser un boeing 727 surnommé Big Flo, au Mexique. L’appareil piloté à distance était bourré d’électronique, de capteurs et de caméras. Evidemment il n’y avait aucun passager et l’objet de l’expérience consistait à étudier et voir ce qui se passe dans l’appareil quand un avion se crashe.
Mais le vol a dû être piloté par un pilote pour de vrai au départ car l’avion survolait une zone habitée. Il était accompagné de quelques personnes. Tous ont sauté en parachute peu avant le crash volontaire, et le pilote le fit en dernier, 4 minutes avant. Après son saut, l’avion était télécommandé.
Il s’écrasa dans le désert à la vitesse de 230km/h et à l’impact s’est scindé en plusieurs morceaux, dont notamment entre le corps de l’appareil et le cockpit.
L’analyse de ce qui s’est passé ma montré que les passagers situés à l’avant de l’appareil sont ceux qui ont le moins de chance de survivre. Ceux se situant au niveau des ailes peuvent survivre mais ont de grandes chances d’être gravement touchés aux jambes. Enfin ceux en queue d’appareil peuvent s’en sortir indemnes s’ils respectent les consignes de sécurité et adoptent la position de sécurité quand l’instruction leur en est donnée.
En tous cas ces conclusions sont vraies pour ce type de crash. Car il suffit de consulter les statistiques pour s’apercevoir que survivre à un crash d’avion est très rare. En effet dans la plupart des crashs l’avion se présente différemment que dans le cas de Big Flo au moment d’entrer en contact avec le sol.